LA 5G À MONTRÉAL : UN G DE TROP !

LA 5G À MONTRÉAL : UN G DE TROP !

Lancée le
22 octobre 2019
Adressée à
Mme Valérie Plante (Mairesse de Montréal) et
Signatures : 24 653Prochain objectif : 25 000
Soutenir maintenant

Pourquoi cette pétition est importante

Lancée par Campagne Stoppons la 5G – Vivons sans danG

(English version at https://www.change.org/p/5g-in-montreal-one-g-too-many)

Plus de 180 experts et médecins de 36 pays réclamaient en septembre 2017 un moratoire sur le déploiement de la 5G, « tant que les risques potentiels pour la santé humaine et l'environnement n’auront pas été pleinement étudiés par des scientifiques indépendants de l’industrie ». Ils estiment qu’il y a suffisamment de preuves que la contamination électromagnétique de notre environnement par les antennes actuelles est nuisible pour les humains et la nature. Le nombre de cas de cancers, de maladies neurodégénératives et de syndrome d'intolérance aux champs électromagnétiques parmi la population ne cesse de croître. Nous, signataires de cette pétition, réclamons de la mairesse de Montréal, Mme Valérie Plante, un moratoire immédiat sur l'installation et l'activation des 200 antennes 5G du projet pilote du Laboratoire d'innovation urbaine, tant que l'innocuité de ces hyperfréquences n'aura pas été pleinement démontrée, tel que le réclament plus de 172 141 scientifiques, médecins et citoyens du monde entier ayant signé – au 30 octobre 2019 – un Appel international demandant l’arrêt du déploiement de la 5G sur Terre et dans l’espace. Le simple bon sens indique qu’en l’absence d’études fiables établissant l’innocuité de la 5G, le principe de précaution doit être appliqué.

Merci de signer cette pétition et de la faire connaître à d'autres...

SVP, avant de cliquer pour signer la pétition, pensez à cocher la case à côté de la mention J'accepte de partager mon nom et mon adresse e-mail avec Campagne Stoppons la 5G – Vivons sans danG, afin d'être informé.e des campagnes menées par cette organisation.

POST SCRIPTUM : Nous avons appris que depuis le début de mars 2020, Rogers a activé des antennes 5G dans 4 grandes villes canadiennes – voir ICI leur carte de couverture et cliquer sur l'icone de Montréal pour voir les secteurs atteints par ces nouvelles sources de pollution électromagnétique. Rogers prévoit étendre son réseau 5G à 20 autres villes en 2020. Tel qu'indiqué ICI, leurs antennes émettent dans la bande des 2.5 GHz et passeront ensuite dans celle des 600 MHz. Ces antennes de type MIMO massif émettent un signal focalisé (grâce au beamforming) ciblant directement l'appareil communiquant avec l'antenne (voir cette illustration). Plusieurs antennes peuvent cibler le même appareil – et donc la personne qui l'utilise – pour améliorer la stabilité de la communication. Vidéotron prévoit aussi offrir la 5G à ses clients en 2020. Telus déploie également des centaines de nouvelles antennes 5G à Montréal comme celles-ci. Bell est aussi entrée dans la danse – voir Bell déploie son réseau 5G dans cinq villes canadiennes - une danse plutôt macabre en ce qui concerne les personnes atteintes du syndrome d'intolérance aux champs électromagnétiques, dont plusieurs à Montréal rapportent éprouver de nouveaux symptômes handicapants depuis le début de mars. Pour avoir une idée du nombre de sites d'antennes (chacun pouvant comporter de 2 à des dizaines d'antennes), voir ICI. Cette capture d'écran est tirée de cette carte permettant de trouver l'emplacement de tous les sites d'antennes au Canada, l'entreprise les possédant, le nombre d'émetteurs-récepteurs par site, la fréquence à laquelle chacune émet et plusieurs autres données techniques. Cette autre capture d'écran montre les 10 sites d'antennes situés uniquement sur le campus de l'UQAM. Un minutieux décompte du nombre d'antennes pour chacun de ces 10 sites révèle qu'il y a en tout 154 antennes ! Pas étonnant que plusieurs étudiants rapportent éprouver des migraines chroniques et d'étranges douleurs chaque fois qu'ils se rendent à l'UQAM.. « Quand j'étais à l'école, de nombreux élèves se plaignaient de TOUT LE TEMPS tomber malade à chaque fois qu'ils y allaient ! Maux de tête, maux d'estomac, anxiété, agitation... tout un cocktail infernal. » - Commentaire reçu sur Facebook. (Fin du Post-Scriptum)

Quand nous estimerons avoir obtenu un nombre suffisant de signatures, nous irons les présenter à la mairesse de Montréal et lui ferons valoir que si elle hésite à tenir compte de l'avis des scientifiques indépendants, selon qui il n'y a aucune raison de croire que la 5G soit sans danger, elle pourrait organiser un référendum à l'intention des résidents et travailleurs du secteur visé par le projet pilote décrit ci-après, afin de savoir s'il y a acceptabilité sociale ou non pour l'activation des 200 antennes du Laboratoire 5G qui y seront installées en avril. Veuillez noter que lors de chaque nouvelle signature de la pétition, une lettre de votre part est automatiquement envoyée par courriel à la mairesse et aux 5 conseillers municipaux de l'arrondissement Ville-Marie, ainsi qu'à M. François Croteau, responsable de la ville intelligente. Vous pouvez en prendre connaissance ICI.

NOTE POUR LES SCEPTIQUES

Si vous doutez que les ondes millimétriques de la 5G puissent causer le moindre problème de santé, vous pourriez lire Does 5G pose health risks? (part 2), un article du 24 avril 2019 écrit par un ingénieur de l'industrie qui « préfère étudier les faits et tirer ses propres conclusions. » Il affirme aborder cette question sans aucun parti-pris. Ce qu'il a découvert donne à réfléchir. Il termine ainsi son article...

[traduction] « Ma propre conclusion est qu’il pourrait très bien y avoir des impacts négatifs résultant du rayonnement électromagnétique [de la 5G]. Il existe suffisamment de preuves pour montrer comment un lien de causalité pourrait exister :

Les fréquences millimétriques pénètrent à l'intérieur du corps à travers les glandes sudoripares.
Les bactéries et les cellules sont affectées par les fréquences millimétriques.
Les dommages à l'ADN sont un précurseur du cancer.

Nous savons que chacun de ces éléments est vrai. Ensemble, ils peuvent montrer un lien possible entre les ondes millimétriques et le cancer ou d'autres affections. Le mot clé est « peuvent ». Il se peut également qu'il n'en soit rien. Cependant, ces risques ne peuvent être simplement écartés du revers de la main en les qualifiant de théories conspirationnistes.

Le déploiement de la 5G nécessite une grille de stations de base rapprochées les unes des autres, couplées à des antennes formant des faisceaux focalisés pour augmenter la puissance apparente rayonnée. Si un réseau est déployé sur une grille d'une station de base à tous les 400 mètres [Note : Il s'agit d'une hypothèse conservatrice car dans les zones à forte demande de bande passante, il pourrait y avoir des antennes 5G à tous les 100 mètres] et que la densité de population est uniforme, la distance médiane d'une cellule sera de 160 mètres. 16% de la population vivrait ainsi à moins de 80 mètres d'une station de base, distance à laquelle le rayonnement de la téléphonie cellulaire cause des dommages à l'ADN selon l'étude mentionnée ci-dessus. On ignore si les ondes millimétriques augmentent ou diminuent les dommages causés à l’ADN par rapport aux fréquences cellulaires actuelles.

Par conséquent, étant donné que le risque n’est pas encore quantifiable, que faisons-nous ? Arrêter la 5G jusqu'à ce que son innocuité soit prouvée ? Déployer la 5G jusqu'à que l'on prouve qu'elle est dangereuse ? Quelque chose entre les deux ?

C'est une bonne question de politique que j'aborderai dans la 3e partie de cette série. » Et l'auteur conclut la dernière partie de sa série en disant qu'il est grand temps que les responsables de l'industrie rejettent le tabou selon lequel il faut éviter de parler des effets sur la santé du rayonnement de la téléphonie cellulaire. Il faut au contraire, écrit-il, encourager les recherches pour étudier ces effets.

                         CONTEXTE DE CETTE DEMANDE

  • Pratiquement partout dans le monde où les entreprises de télécommunications déploient la 5G, des groupes de citoyens s'opposent fermement à l'ajout de milliers de nouvelles antennes microcellulaires, estimant que leur exposition au rayonnement actuel des antennes de la 3G et de la 4G a déjà atteint un niveau dangereusement trop élevé. De nombreux citoyens de Genève en Suisse ont rapporté avoir noté subitement de nombreux symptômes incapacitants le jour même de l’activation des antennes de la 5G dans leur ville. Uniquement à Montréal, on prévoit en installer entre 40 000 et 60 000 de plus — il y en a environ 1800 pour l'instant.
  • Le fait que les hyperfréquences millimétriques de la 5G ne se propagent pas loin et sont facilement arrêtées par les objets physiques explique le besoin d’un nombre aussi considérable de nouvelles antennes. De plus, comme l'explique ce spécialiste de l'industrie, chaque petit boitier d'antennes pourra en fait contenir jusqu'à plus de 1024 micro-antennes capables de créer de multiples faisceaux focalisés visant l'appareil communiquant avec les antennes – ainsi que la personne qui le tient et tout ce qui se trouve entre les deux. Ces antennes seront installées à tous les 100 mètres environ, principalement sur des lampadaires, et donc à faible hauteur comparativement aux hautes tours d’antennes actuelles. Plus on est proche d’une antenne, plus sa puissance de rayonnement est élevée.
  • Si un moratoire n’est pas rapidement mis en place, des centaines de milliers de Montréalais, tout comme des millions de Québécois, vont se retrouver, contre leur gré, d'ici quelques années avec des antennes 5G à tout juste quelques mètres de leur maison et/ou de leur lieu de travail. Aux États-Unis, des représentants de l’industrie des télécommunications ont admis devant une commission sénatoriale n’avoir financé aucune étude pour vérifier si le rayonnement de la 5G pouvait affecter la santé humaine. La situation est identique au Canada et ailleurs dans le monde.
  • Montréal a prévu de commencer à tester en 2020 le fonctionnement de 200 antennes d'un projet pilote au centre-ville devant servir de banc d'essai pour cette technologie, dite « de rupture » pour bien la distinguer des précédentes – 3G et 4G. M. François Croteau, responsable du projet Laboratoire d'innovation urbaine, qui sera utilisé par les télécoms pour réaliser leurs essais, a déclaré que ces tests visent notamment à [traduction] « examiner si les allégations d'effets néfastes de la 5G sur la santé sont fondées » (tiré de Montreal gearing up for 5G pilot project). Dans cet autre article sur le sujet, M. Croteau précisait : « On va aussi permettre aux différentes directions de santé publiques, qu’elles soient fédérales ou provinciales, de venir faire des analyses pendant ce laboratoire pour voir quels sont les impacts potentiels sur la santé publique. » Les milliers de Montréalais qui serviront en quelque sorte de cobayes involontaires dans cette expérience visant à vérifier si la santé des humains sera affectée par les fréquences de la 5G seront-ils consultés au préalable pour obtenir leur consentement ? Rien ne l'indique. En fait, dans l'ensemble de la documentation en ligne sur ce projet, s'inscrivant dans le concept de « ville intelligente », il n'est nulle part fait mention de possibles impacts sur la santé. Dans ce document de 69 pages portant sur ce projet, on ne parle que de « Perception de l’impact de l’accroissement des ondes électromagnétiques dans la ville sur la santé », comme si les conséquences possibles sur la santé n’étaient qu’une « perception » dans la tête des gens et non une réelle possibilité...

Plusieurs choses sont fondamentalement inacceptables avec ce projet.

  1. Utiliser des êtres humains sans leur consentement pour tester les impacts sur leur santé d'une nouvelle technologie viole les droits humains, tel que défini dans le Code de Nuremberg, ainsi que dans l’article suivant de la Charte montréalaise des droits et responsabilités: « 26. Aux fins de favoriser la jouissance par les citoyennes et les citoyens de leur droit à la sécurité, la Ville de Montréal s’engage à : [...] e) protéger l’intégrité physique des personnes. »
  2. Ce projet n'a pas été conçu comme une expérience capable de rencontrer les critères rigoureux d'une étude scientifique, afin de discerner quels effets à long terme l'ajout de ces nouvelles hyperfréquences dans l'environnement humain pourrait avoir.
  3. Enfin, l'intensité d'utilisation de ces hyperfréquences au stade de ce projet pilote, réservé à une poignée d'utilisateurs et non au grand public, n'aura aucune commune mesure avec celle que génèreront les dizaines de milliers d'antennes de la 5G installées sur le mobilier urbain, comme les lampadaires, une fois que les millions d'appareils connectés de l'Internet des objets et les centaines de milliers d'ordinateurs, tablettes et téléphones intelligents des Montréalais solliciteront ces antennes pour échanger des milliards de segments hachurés de données numériques à la seconde, 24 heures sur 24.
  4. Non seulement il est scandaleux et révoltant que les responsables de ce projet puissent s'imaginer pouvoir se servir d'humains, tels des rats de laboratoires, pour tester les impacts sanitaires de la 5G, mais les résultats de cette expérimentation, basée sur une absence totale de critères scientifiques d'encadrement et de suivi à long terme, ainsi que de moyens pour les personnes affectées de rapporter les symptômes qu'elles pourraient éprouver, n'auront absolument aucune valeur scientifique.

SOURCE DE LA PÉTITION ET INVITATION À NOUS AIDER

Cette pétition est lancée par le groupe de citoyens STOP 5G - Montréal, en collaboration avec la campagne provinciale Stoppons la 5G – Vivons sans danG. Vous êtes invité-e, en plus de l'ajout de votre signature, à laisser un commentaire résumant vos motifs de signer cette pétition. Nous vous encourageons aussi à nous laisser savoir que vous désirez contribuer à stopper la 5G en nous envoyant un courriel à stop5gmontreal@gmail.com – svp indiquer « Je veux participer » comme sujet de votre courriel. Vous recevrez un courriel avec quelques questions afin de nous permettre de connaître de quelle manière vous aimeriez soutenir nos efforts. Nous vous enverrons aussi de temps à autre, un court bulletin d'information qui vous tiendra au courant des principaux développements de cette campagne.

Une pétition, pour avoir de l'impact, doit être signée par un nombre important de personnes. Votre aide à cet égard, en invitant tous vos contacts à la signer, peut faire une énorme différence. Des citoyens bien informés à des sources fiables peuvent mieux expliquer les raisons de s'opposer à la 5G. Visitez notre page Facebook et le site de la campagne à www.stopponsla5g.ca pour vous armer des faits essentiels. Ensemble, stoppons la 5G !

COMPLÉMENT D'INFORMATION

Les auteurs de cette pétition ne sont pas foncièrement opposé au développement des services liés au concept de « ville intelligente », pourvu que cela ne se traduise pas par une augmentation fulgurante de la pollution électromagnétique invisible mais bien réelle créée par les antennes émettrices de micro-ondes pulsées dont les grandes villes du Québec, et plus particulièrement Montréal, sont déjà amplement pourvues – celles de la téléphonie cellulaire, des réseaux Wi-Fi résidentiels, corporatifs et scolaires, y compris celui formé par les 110 000 nouveaux lampadaires LED d'éclairage urbain de Montréal dont chacun est malheureusement équipé d'un émetteur Wi-Fi, et enfin ceux des millions de compteurs communicants et des milliers d'antennes collectrices d'Hydro-Québec, le tout émettant un cocktail électromagnétique déjà hautement toxique pour la santé humaine, pour la faune animale et ailée, et pour les insectes. C'est ce que permettent d'affirmer des milliers d'études scientifiques indépendantes ayant analysé et répertorié depuis plus de 30 ans les conséquences de plus en plus préoccupantes de cette pollution, permise et favorisée par les États en raison des avantages perçus des télécommunications sans fil – en réalité une boîte de Pandore désormais quasi impossible à refermer. Nous estimons que le recours systématique à la fibre optique constitue un moyen plus efficace et infiniment moins coûteux à long terme, compte tenu des coûts cachés des impacts encore mal reconnus des communications sans fil, pour faciliter le déploiement des services d'une « ville intelligente ».

D'autres aspects du concept de « ville intelligente » nous préoccupent : Quelles garanties, robustes et fiables, les citoyens auront-ils que les milliers de capteurs et de caméras de l'infrastructure d'une ville intelligente ne finiront pas par servir à leur insu à violer leur droit à la vie privée, autant dans l'espace public que dans le sanctuaire de leur demeure ? Quels seront les impacts sur la valeur marchande des immeubles près desquels les antennes de la 5G seraient installées ? Certaines études indiquent une baisse de cette valeur pouvant atteindre 20% en raison de la difficulté de trouver des acheteurs pour qui la présence d'antennes à proximité de l'immeuble en vente ne constitue pas un facteur négatif majeur. Quelles en seront les conséquences sur le rôle d'évaluation foncière d'une municipalité, qui pourrait avoir à relever le niveau de taxation de tous les payeurs de taxes pour compenser une éventuelle baisse de valeur de son assiette fiscale en raison d'un nombre grandissant de maisons devenues pratiquement invendables ?

Pour approfondir votre compréhension des divers problèmes et enjeux soulevés ci-haut, veuillez consulter https://www.stopponsla5g.ca/blog

« Cela augmenterait considérablement la politique actuelle d’irradiation obligatoire du public sans étude adéquate préalable des conséquences potentielles sur la santé, ainsi que sans assurance d’innocuité. Cela irradierait tout le monde, incluant les plus vulnérables aux dangers des rayonnements de radio-fréquences — les femmes enceintes, les enfants à naître, les jeunes enfants, les adolescents, les hommes d’âge reproductif, les gens âgés, les invalides et les gens chroniquement malades. »

Ronald Powell, docteur en physique et ancien conseiller scientifique de la Maison Blanche – au sujet des conséquences de la 5G. Tiré et traduit d'ICI.

Si vous aimeriez écrire personnellement à la mairesse Valérie Plante pour lui faire part de vos préoccupations au sujet de la 5G à Montréal, vous pouvez le faire via ce LIEN. Vous pourriez simplement lui demander de prendre connaissance de la pétition LA 5G À MONTRÉAL : UN G DE TROP ! s'adressant à elle au http://chng.it/8Qq47s5n et lui indiquer vos raisons personnelles de vous opposer à la 5G. De tels messages personnalisés contribuent grandement à sensibiliser les élus qui les reçoivent.

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Décisionnaires

  • Mme Valérie PlanteMairesse de Montréal
  • M. Robert BeaudryConseiller de l'arrondissement Ville-Marie et Membre du comité exécutif
  • Mme Sophie MauzerolleConseillère de l'arrondissement Ville-Marie et Conseillère associée
  • M. Richard RyanConseiller désigné de l'arrondissement Ville-Marie
  • Mme Anne-Marie SigouinConseillère désignée de l'arrondissement Ville-Marie