Monsieur le Président, Monsieur le Premier Ministre,

il faut nommer le Professeur Didier Raoult Ministre de la santé, le temps de stopper l’épidémie ou au minimum de bien la contrôler.

Les Français vous en seront reconnaissants.

Vous recevez de très mauvais conseils, vos conseillez ne font que vous conduire à laisser l’épidémie se propager en utilisant la médecine du 19è siècle.  Sont touchés en priorité les vieux, les malades et les obèses et heureusement peu les autres catégories.  Comment savoir si parmi vos conseillers, que nous ne connaissons pas,  certains ne pourraient pas y voir un intérêt ? Parler de théorie du complot serait un peu trop facile pour s’exonérer de réfléchir à cette possibilité. Même si elle est improbable, le peuple n’est pas assez naïf pour la croire impossible et l’accumulation des retards y compris non justifiés dans le cas de la commande des tests n’est pas de nature à rassurer. Pourquoi aussi Madame Buzyn n'a pas pensé à commander des masques dès la fin du mois de janvier? 

Il faut pardonner ceux qui vont mourir d’être inquiet de ces atermoiements.

Le fait que le traitement du Professeur Raoult  produise une forte diminution de la densité virale est la preuve qu’il fonctionne, il vous l’a bien évidement expliqué Monsieur le Président puisque vous l’avez rencontré. C'est bien mieux que de laisser mourir des gens a qui on aura donné un placebo.

L’INSERM  teste le traitement du Professeur Raoult (via Discovery)  mais  omet l’azithromycine  et le donne seulement après que la gravité soit révélée et  les poumons abîmés. C'est l'opposé du protocole du Professeur Raoult et c'est une aberration. Comment des grands scientifiques qui travaillent à l’Inserm  peuvent ignorer cela? Eux qui ont donné le grand prix de la recherche scientifique justement au Professeur Raoult ! Il faudra l’expliquer au peuple.

Cela et bien d’autres choses.

Si le professeur Raoult refuse, il a le droit, le monde politicien est terrible, qu’il devienne au moins le conseiller prioritaire du Ministre.

Avec tous les respects qui vous sont dus