POUR LE RETOUR DE SAMUEL 5 ANS ET NOAH 10 ANS

POUR LE RETOUR DE SAMUEL 5 ANS ET NOAH 10 ANS

Lancée le
27 janvier 2020
Adressée à
Juge des Enfants à Nîmes Mme LALANDE (Gard - 30) et
Signatures : 4 409Prochain objectif : 5 000
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Pourquoi cette pétition est importante

Lancée par karine TRAPP

Pour suivre l’évolution de notre situation depuis la mise en ligne de cette pétition en janvier 2020:  Chaîne Youtube : Karine Trapp  /  Facebook profil « Karine Trapp Noah Samuel » et groupe « Samuel 5 ans Noah 10 ans » / Contacter 06 21 92 69 62 ou karinetrapp48@gmail.com

Concernant les placements abusifs d'enfants voir:  Sur francesoir.fr tribune "Enfance : Un Collectif de professionnels dénonce la maltraitance de la justice" publiée en novembre 2020  /  Site internet " lenfanceaucoeur.org "  / Chaines Youtube :"Grain d’Sable" et " Non, pas ça " luttant contre les placements abusifs et la pédocriminalité

  • Texte la pétition de janvier 2020:                                                     

Pétition mise en ligne pour tenter de rétablir la situation inhumaine et illégale de mes 2 enfants et moi

Noah est né en septembre 2009, j’étais âgée de 24 ans et déjà séparée du père lorsque j’ai appris être enceinte, j’ai décidé de «garder » mon enfant (je n’ai jamais subi d’interruption de grossesse et ne le souhaite pas).

Samuel est né 5 ans plus tard, en novembre 2014, son papa et moi avions le projet commun de construire une famille, mais il est devenu violent dé la grossesse et cela n’a fait qu’empirer après la naissance du petit.

Début septembre 2016, après plusieurs séparations et reprises de la vie familiale, le père de Samuel et moi nous sommes séparés définitivement.

Aussitôt il entreprend de nombreuses démarches : il devient ami avec le père mon 1er enfant, et saisissent ensemble services sociaux, justice, gendarmes.

Le père de Samuel, fils de colonel et d’une famille ancrée depuis des décennies dans le tout-petit village de LOZERE (48) où nous vivions, obtient vite l’appui de gendarmes locaux.

Pendant que je m’occupe de mon père en fin de vie à mon domicile, isolée dans un lieu-dit de ce village de LOZERE, en plus de m’occuper de mes 2 enfants et ma boutique de livres & disques située dans un village du GARD (30) département voisin, les pères devenus amis multiplient les démarches pour me retirer la garde des enfants.

Le grand-père maternel des enfants décède le 28 février 2017, après 9 mois chez nous.

Le 18 mai 2017, 2 mois et demi après ce décés, alors que nous sommes heureux tous les 3 et retrouvions notre équilibre familial suite à cette perte, Samuel (2 an 1/2) et Noah (7 ans 1/2) sont retirés en urgence de leur maison, chez leur maman où ils ont toujours vécu, sur des allégations mensongères des 2 pères, avec 4 gendarmes.

Le petits sont placés en Foyer durant 3 mois 1/2, malgré les nombreuses preuves des mensonges des pères, repris par les services sociaux qui ont demandé le placement, et alors qu’un suivi éducatif et bienveillant aurait été suffisant pour rassurer sur le bien-être des enfants et ma capacité à les élever.

Puis le 31 août 2017 il sont placés chez leur père respectif, de manière encore brutale et soudaine, sur un dossier des services sociaux et pères auquel je n’ai pas pu accéder.

SAMUEL vit donc désormais chez son père en LOZERE(48), et Noah chez son père en HAUTE-SAVOIE (74) à 850km aller-retour de son petit frère et sa maman.

Ils voient leur maman un week-end sur 2 pour Samuel, un week-end par mois pour Noah (quand son père l’accepte, exemple en novembre 2017 il refuse), et la moitié des vacances scolaires.

Un suivi socio-éducatif est aussi instauré au domicile des parents : en LOZERE pour le père de Samuel, en HAUTE-SAVOIE pour le père de Noah, et à mon nouveau domicile dans le GARD.

Les 2 pères devenus très proches m’évincent totalement de la vie des enfants, refusent de me tenir au courant de leur évolution, santé, activités, et sont très agressifs parfois violents avec moi et devant les enfants (preuves).

Je dois faire des milliers de kilomètres par mois, et je suspends mon activité professionnelle car je peux plus assurer mes horaires de travail (mais dois continuer de payer le loyer de ma boutique) 

En décembre 2017 le service social suivant SAMUEL en LOZERE envoie une note au Juge des Enfants chargé de SAMUEL en LOZERE et au Juge des Enfants chargé de NOAH en HAUTE-SAVOIE, sans m’en avertir ni avertir le service social chargé de me suivre dans le GARD.

Cette note reprend uniquement les paroles mensongères du père de SAMUEL.

Le 27 décembre 2017, suite à cette note, le Juge des Enfants chargé de NOAH retirent mes droits de visite et d’hébergement, la veille d’aller le chercher pour nos vacances de Noël, lors d’une audience en mon absence (convocation pas envoyée à temps), sur allégations mensongères des 2 pères et de la note du service de LOZERE dont je n’ai pas eu connaissance et n’ai pu me défendre.

A cette audience le service chargé de NOAH en HAUTE-SAVOIE ne dit pas qu’il s’inquiète déjà beaucoup de la prise en charge de l’enfant par son père (enregistrement à l’appui), à cause notamment de sa sclérose en plaques.

Quant au service du GARD me suivant à mon domicile il n’a été prévenu ni de la note ni de l’audience, et n’a donc pu faire part des éléments rassurants constatés (contenu de nos RDV, visite de mon domicile, etc) et du comportement hostile et violent des pères à mon égard.

Je n’ai désormais plus droit qu’à une visite mensuelle d’1h à 1h30 avec NOAH en HAUTE-SAVOIE (850km A-R), visite médiatisée c’est-à-dire dans un local en présence de professionnels.

Le père de NOAH refuse aussi désormais tout contact téléphonique entre mon fils et moi.

Aussitôt averti par le père de NOAH, le père de SAMUEL me refuse les vacances de NOEL avec le petit (m’en avertissant 30 minutes avant), en violation du jugement.

Il disparaît 8 jours avec le petit, sans aucune nouvelle, ni services sociaux ni Gendarmerie n’arrivent à le joindre, et il ne laisse même pas SAMUEL (3 ans) parler avec sa maman par téléphone.

Fin janvier 2018 une audience concernant SAMUEL a lieu devant le Juge des Enfants de LOZERE, mes droits de visites et d’hébergement sont supprimés et remplacés par 2 visites médiatisées mensuelles d’1h à 1h30 en LOZERE (4h A-R de route de montagnes).

A cette audience le service social suivant SAMUEL en LOZERE n’a pas fait part de ses doutes et craintes concernant le père de SAMUEL (conversations avec le service enregistrées), se contentant de demander le retrait des mes droits pour protéger SAMUEL du « conflit parental ».

En avril 2018, la dernière décision de Justice concernant NOAH du 27 décembre 2017 est déclarée nulle et mes droits de visite et d’hébergement rétablis, suite à une audience à la Cour d’Appel de CHAMBERY (SAVOIE 73) où mes preuves et arguments sont pris en compte pour la 1ère fois depuis le retrait des enfants.

Je vais chercher NOAH pour les vacances d’Avril et devant son état inquiétant et qui ne cesse d’empirer depuis des mois, je demande l’aide au Juge des Enfants et décide de garder mon enfant en sécurité, le soigner et l’emmener consulter une psychologue.

NOAH est en mauvaise santé, n’a pas été emmené chez le docteur pendant 6 mois (malgré une constipation extrême et de l'encoprésie), il vit en chambre d’hôtel avec son père depuis des semaines (je ne le savais pas) et manque très souvent l’école, son père ne l’emmène plus chez le psychologue depuis des mois, NOAH ne parle quasi plus, n’accepte que le lait, a des troubles du sommeil.

Je fais constater l’état de NOAH par le service social me suivant dans le GARD, notre médecin généraliste, une psychologue, et notre entourage.

Pendant 3 mois je demande de l’aide au Juge des Enfants mais aucune décision n’est prise (le service me suivant m’informe que « le Juge réfléchit »).

En mai 2018, mes 2 enfants et moi nous revoyons ensemble en visite médiatisée, pour la 1ère fois depuis nos dernières vacances en octobre 2017, et c’est la dernière fois que nous sommes vus tous les 3.

Mi-juillet 2018 soudainement, suite à un courrier mensonger et alarmiste du père de Noah et son avocate, NOAH est retiré en urgence de mon domicile pour être remis à son père.

Il n’est pas tenu compte du fait que le père ait dit et écrit ne plus se sentir capable de s’occuper de son enfant, et que Noah crie vouloir rester vivre près de sa mère.Pour ma part je subis 33h de garde à vue.

Noah et moi n’auront plus ni visite (le service les organisant en HAUTE-SAVOIE est surchargé) ni contact téléphonique (refus du père) durant plusieurs semaines.

Parallèlement, mi- juillet 2018, Samuel se casse le fémur chez son père et nos prochaines visites sont annulées, ainsi que les contacts téléphoniques suspendus par son père.

Inquiète pour mes enfants, sans nouvelles, et coupés d’eux pour encore plusieurs semaines ou mois, je décide d’entamer une 1ère grève de la faim (que je dois parfois interrompre pour aller en HAUTE-SAVOIE notamment lorsque que je découvre par « hasard » que NOAH est mis en Foyer pour une nuit).

Après plusieurs semaines de jeûne, de démarches, l’intervention de 2 députés, etc, une nouvelle audience est fixée pour revoir la situation de NOAH.

Je supsends la grève de la faim, afin de donner toutes les garanties que je suis apte à reprendre mon fils à mon domicile immédiatement.

Le 11 décembre 2018 NOAH est retiré en urgence de chez son père qui ne peut plus s’en occuper, mais placé en Foyer en HAUTE-SAVOIE.

Noah passera les fêtes en foyer au milieu d’inconnus, en attendant son transfert le 11 janvier 2019 dans un Foyer du GARD, proche du domicile de sa mère comme décidé par le Juge.

Les parents ont droit à 2 visites mensuelles minimum et 1 appel par semaine (appels et visites en présence d’un tiers).

Choquée par cette décision je reprends ma grève de la faim le 14 décembre 2018, avec une autre maman dans une situation similaire, devant l’Assemblée nationale puis l’Elysée (aucun article de presse ne paraît, le seul relais médiatique est sur les réseaux sociaux).

Un journaliste de « France Télévisions » me rencontre et propose un reportage et caméras cachées en LOZERE, auprès du Tribunal et des services sociaux qui ont placés mes enfants en 2017, et dont SAMUEL dépend toujours puisqu’il vit chez son père dans ce département.

Cette médiatisation à venir semble plus efficace qu’une grève de la faim, c’est pourquoi je décide avec mon entourage d’y mettre fin (le reportage sur les placements abusifs était prévu pour 2019 mais n’est toujours pas sorti...)

La présence des 2 journalistes me permet de rencontrer la Présidente du Tribunal, en présence d’un ami qui a été témoin des comportements des pères avant le placement et depuis, du bien-être des enfants avant leur placement et leur souffrance depuis, mais n’a jamais été interrogée lors des enquêtes de gendarmerie ou sociales, et ses attestations en justice ignorées.

La Présidente est à l’écoute et s’engage à se renseigner sur les dossiers des enfants, les erreurs de procédures, le non-accés au dossier, les mensonges des pères, mais n’a jamais donné suite.

En février 2019, quelques semaines après l’arrêt définitif de la grève de la faim et le départ des journalistes, je suis mise en garde à vue en LOZERE, officiellement pour m’être présentée au domicile du père durant l’été 2018 puis m‘être rendue 3 ou 4 fois à l‘école entre septembre 2018 et janvier 2019 pour voir SAMUEL (rencontres enregistrées).

Durant cette garde-à-vue il m’est demandé de stopper mes actions si je souhaite retrouver des droits sur mes enfants.

Une expertise psychiatrique est effectuée, relevant que je n’ai pas de pathologie mais souffre beaucoup de l’absence de mes enfants.

En juin 2019 le Juge aux Affaires Familiales de LOZERE retire l'exercice de mon autorité parentale sur SAMUEL, sur mensonges du père et son avocate, sans que je vois le dossier, et alors qu'une une telle décision exceptionnelle ne doit être prise que dans des cas extrême comme la maltraitance ou l'abandon.

J’ai droit à une seule visite mensuelle d’1h ou 1h30 avec SAMUEL, toujours en LOZERE à 4h de route de montagne de mon domicile, alors que je ne cesse d’avertir des difficultés et risques pour s’y rendre.

Le 20 décembre 2019 le placement de NOAH en Foyer est renouvelé , et j’ai interdiction de voir mes 2 enfants ensemble, comme depuis plus d’un an et demi.

Le seul progrès que j’obtiens est une visite semi-médiatisée mensuelle avec Noah (rencontre avec des professionnels, puis sortie libre avec mon fils, avant de le ramener aux professionnels).

Quant aux 2 frères ils se sont vus 2 fois durant l’année 2019, quelques heures en présence d’éducateurs.

Le samedi 18 janvier 2020 est prévue ma 1ère rencontre semi-médiatisée avec Noah, nous allons enfin être seuls pour la première fois en plus d’un an et demi.

Mais la veille tous mes droits sont supprimés par l’organisme organisant les rencontres (je suis prévenue la veille mais NOAH prévenu 30 minutes avant l’heure de visite avec sa maman).

Cette situation est devenue insoluble, je ne suis plus la mère de mes enfants, et il m’est impossible de reprendre le cours de ma vie et retravailler dans ces conditions, séparée de mes enfants et devant courir les routes pour les rencontrer, aller au RDV avec les services sociaux, en audiences , etc.

Tout le capital-décés de mon père a servi à payer avocats, frais de routes, huissiers, loyer de la boutique où je ne peux plus travailler, envoi de colis à me senfants, etc. Je n’ai plus les moyens de me défendre.

Chaque fois qu’un motif de danger ou de crainte est levé un autre est avancé, et cela est sans fin.

Aujourd’hui je ne sais même pas ce qui m’est reproché si ce n’est le fait que je me bats pour récupérer mes enfants et m’oppose à leur placement.

S.V.P signez cette pétition, aidez-moi à sauver ma famille, à sortir NOAH de Foyer, et à réunir mes 2 enfants près de moi qui ne cessent de demander leur maman et leur frère.

Aidez-nous à retrouver une vie normale et heureuse.

Ma famille, comme des dizaines de milliers d’autres en France, est victime d’un système de « Protection de l’Enfance » défaillant et maltraitant, comme reconnu et dénoncé par plusieurs instances (Cour des Comptes, Inspecteur Général des Affaires Sociales), associations (Comité CEDIF, Violette Justice, Thermouthis, Rendeznounosenfants), journalistes (article de « Marianne » en janvier 2020 sur la « spirale des placements abusifs, reportage sur les Foyers en janvier 2019 et 2020), quelques députés (Jean LASSALLE notamment), avocats (Maître Michel AMAS voir ses vidéos "coup de geule Amas" sur internet ), et nombreux parents et enfants en détresse.

Pour plus d’informations sur notre histoire et sur les placements abusifs, voir site internet samuel3ansnoah8ans.fr.

Pétition rédigée et mise en ligne le 27 janvier 2020

 

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Décisionnaires

  • Juge des Enfants à Nîmes Mme LALANDE (Gard - 30)
  • Juge des Enfants à Mende Mme LARDY (Lozère - 48)
  • Parquet du Tribunal de Mende
  • Parquet du Tribunal de Nîmes
  • Cour d'appel de Nîmes Chambre spéciale des mineurs