POUR LA SECURITE DES CYCLISTES !

POUR LA SECURITE DES CYCLISTES !

Lancée le
15 juin 2023
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Pourquoi cette pétition est importante

Lancée par Covved DIJON

CoVVED : Collectif pour des pistes cyclables sécurisées.

LA SECURITE EST LE PREMIER DROIT DES CYCLISTES ! 

Le vélo, OUI, mais à condition de pouvoir rouler en toute sécurité.  

Pour prendre nos vélos, nous devons d’abord être sûr d’être en sécurité sur de vraies pistes cyclables sécurisées tout au long du trajet, sinon nous renonçons.

L’insécurité est le premier frein à l’usage du vélo. Or, seules des pistes cyclables séparées physiquement des autres véhicules offrent une réelle protection

Les bandes cyclables ne sont pas des pistes cyclables. Elles ne l’ont jamais été. les cyclistes ne sont pas protégés. Trop souvent frôlés par voitures et poids-lourds, ils risquent toujours d’être renversés…

Cela est encore plus vrai quand il s’agit de traverser un pont.

Sans parler du pont de Normandie, les exemples de ponts dangereux pour les cyclistes sont nombreux. Comme par exemple le pont d’ARGENTEUIL dans le Val-d’Oise où l’aménagement récent de nouvelles bandes cyclables n’offre toujours pas aux cyclistes la sécurité à laquelle ils ont droit. 

OUI, LA SECURITE EST LE PREMIER DROIT DES CYCLISTES ! 

NOUS DEMANDONS DES PISTES CYCLABLES SECURISEES, y compris sur les ponts, pour les petits trajets du quotidien sur les axes pendulaires, domicile, travail, domicile, en milieu urbain et périurbain.

Parce que LA LIBERTE DE CIRCULER DOIT ÊTRE LA MÊME POUR TOUS, nous demandons aussi à propos d’un autre pont situé en Côte-d’Or, au concessionnaire des autoroutes APRR de rétablir la circulation des cyclistes sur un axe pendulaire majeur où circulent 20 000 véhicules/ jour entre Dijon et Arc -sur-Tille (RD 70). Le pont qui enjambe l’autoroute A31 est si étroit que les cyclistes n'osent pas s'y engager . Ce pont est un coupe-gorge pour ces derniers  qui n'y sont pas en sécurité et sont empêchés d'y circuler. Ils ont perdu le droit de se rendre d’un point à un autre, à cause de l’autoroute qui est devenue un obstacle quasi infranchissable.

Depuis trois ans le CoVVED demande à la société des autoroutes APRR d'élargir  son pont pour que les cyclistes puissent simplement passer.   

Depuis trois ans, la société APRR refuse de prendre en charge les travaux d’élargissement du pont permettant de faire passer la piste cyclable Dijon - Arc-sur-Tille en zone périurbaine sur un axe à fort trafic. 

Nous demandons à la société des autoroutes APRR de rétablir la circulation des cyclistes à l'endroit du pont.

Nous demandons à la société des autoroutes APRR, au moment où les péages ont encore augmenté d’avoir un comportement citoyen, en prenant sa part à l’effort collectif. 

Nous demandons à la société APRR fortement impliquée en tant qu’acteur de mobilités à fortes émissions de gaz à effet de serre, d’assumer ses responsabilités sociétale et environnementale. 

Si, partout en France grâce au plan vélo mis en place par l’Etat dès 2019, des pistes cyclables sécurisées sont aménagées, les collectivités locales ne peuvent pas tout assumer, en particulier quand elles ne sont pas responsables de situations hautement dégradées pour la sécurité des cyclistes causées par des tiers.

Au nom de quoi, les cyclistes n’auraient-ils pas droit à la même sécurité que les autres usagers de la route ? Pourquoi devraient-ils toujours être déclassés et pénalisés, relégués, confinés sur des espaces exigus, simplement parce qu’ils se déplacent à vélo ? Pourquoi devraient-ils être déviés, obligés d’emprunter des trajets détournés et plus longs ? Est-ce parce qu’ils roulent en silence, n’émettent pas de CO2, ne polluent pas, ne produisent pas de nanoparticules dangereuses pour la santé et l’environnement, roulent économique, ne payent ni essence, ni stationnement, ni péage et prennent moins de place que les automobilistes ? Leur discrétion vertueuse est-elle un délit qui leur vaut d’être punis, marginalisés et repoussés contre les trottoirs et les bordures de routes mal entretenues et dangereuses comme des gêneurs indésirables, inaptes à circuler ? Les cyclistes ne sont-ils pas des citoyens comme les autres, des citoyens à part entière, avec les mêmes droits ? 

Aujourd’hui, chacun doit avoir la liberté de choisir le vélo pour se déplacer sans être contraint de prendre sa voiture par manque de sécurité !

 

 

 

 

 

 

 

 

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